dimanche 14 juillet 2013

Les écrits durent et les paroles s'envolent


Comme les  oiseaux s'envolent,  les écrits aussi s'envolent sans destination. Pour  se retrouver en face de soi il  faut   écrire et ne pas se laisser freiner  pas la barrière du  mental. se disperser avec des activités qui nous attirent comme des mouches attirées par une  lampe. une intrigue est là, elle prend l'esprit et  l'occupe pour suivre les parole avec le rôle du drôle et beau rôle. Qu'importe la flamme du texte qui brûle sous les doigts claviéristes.  un ange est passé et il protège  son protégé des idées  noires. restons positifs et caressons cette formation du cœur qui ne connait pas  de rancœur et les aigreurs du matin frais et sec.  La nuit reste toujours la reine de l'inspiration.  Je reste plein d'admiration devant ce qu'elle nous propose. Le silence de la nuit est propice à l'inspiration. Le mental s'arrête d'analyser et le cœur parle à ... cœur ouvert. Ouvert aux sentiments, libéré  de ses boulets. La nuit est  là et le clavier clapote allègrement comme des ricochets sur  l'eau d'un  lac  limpide. Les ondes vont grandissantes et débordantes. les mots arrivent comme  une cascade,  comme un barrage libéré de sa digue.    


mardi 22 janvier 2013

La lecture éclair

Lorsque l'US AIR FORCE s'est rendu compte qu'on pouvait
"lire" et retenir des mots projetés à 1/500e de seconde
seulement, l'idée de la lecture éclair a surgi.

Et aujourd'hui, des milliers de cadres et de dirigeants
l'utilisent.

Vous vous posez sans doute des questions du genre :

"Comment est-il possible de lire plus vite ?"

"Lire plus vite, c'est oublier plus vite?"

"Si on lit plus vite est-ce plus difficile de comprendre ?"

Nous allons voir ensemble tous ces points.

Charles de Gaulle, Robert Kennedy, utilisaient
la "lecture éclair".

Pourquoi ?

- Parce qu'ils avaient besoin de prendre connaissance
de milliers d'informations. Aujourd'hui, le savoir a
été multiplié par 10.

Du coup, la plupart des multinationales forment leurs
dirigeants à la lecture éclair, ou lecture rapide.

En fait, lorsque vous lisez normalement, votre cerveau
s'ennuie, et vous vous mettez à penser à autre chose.
Cela vous oblige quelquefois à revenir en arrière.

La première façon d'accélérer la lecture, c'est
d'appréhender d'un bloc PLUS de mots à la fois.

le lecteur moyen bouge 9 fois les yeux pour lire une ligne.

En vous entraînant vous pourrez facilement lire une ligne
en ne bougeant les yeux que 2 fois, et même qu'une,
au bout de quelques semaines de pratique !

Vous pouvez, par cette technique, réduire le travail
de vos yeux à un tiers de la normale sans affecter
la perception des informations, et en vous fatigant moins.

Pour y arriver, vous devez avant tout développer votre
"vue périphérique", c'est-à-dire perdre l'habitude de lire
mot à mot, mais embrasser du regard d'un coup un groupe de mots.

Un en-fant lit syl-labe par syl-labe. Un adulte lit
mot par mot. Un lecteur éclair lit ligne par ligne.

Et vous?

Dans les 24 heures qui viennent observez vos habitudes
de lecture.

Nous verrons bientôt comment améliorer cette vue,
qu'on nomme l'EMPAN.

Tout est gratuit!!!
et c'est ici          
 Editions PourQwapa
 http://1cadeaux.com/

dimanche 13 janvier 2013

Le rire est contagieux

Sans commentaires.
Le  rire est contagieux. Comme la grippe qui nous prend par contagion. Mais la contagion  du  rire est bien meilleure! 

dimanche 6 janvier 2013

La salle de jeux




D’une stature hors du commun, Maamar imposait uniquement par sa taille. Le genre armoire à glace où tu te vois tout petit.
Dans une impasse où l’on accède par quelques marches, se trouve ma salle de jeux vidéo. J’étais derrière mon comptoir en train de savourer un bon livre tout en jetant de temps en temps un œil sur les bambins hypnotisés par leurs jeux. Subitement, il n’y eut plus de lumière du jour entrant par la porte d’entrée. Il me semblait que quelqu’un avait fermé la porte de la salle. Surprise ! C’était notre armoire à glace qui faisait écran  à la lumière réconfortante du jour. Il semblait que notre malabar prenait plaisir à entretenir cette ambiance de polard. Il resta une éternité sur le seuil de la porte. Venait-il pour jouer, pour la caisse ou pour autre chose ? Je ne  pouvais que patienter pour deviner les intentions de mon visiteur. Sous le comptoir, la barre de fer était à ma portée. On ne sait jamais. Il y avait souvent des bagarres entre joueurs. Ma barre de fer était surtout une arme de dissuasion. Notre bonhomme se décida enfin à descendre les deux marches. Une fois dans la salle, il ne me regarda même pas et se dirigea d’un pas lourd de menaces vers un joueur figé sur son écran. Il fallait décider vite : un coup de fil à la police ou des coups de fer sur Maamar. J’optais pour les deux. Une fois les flics au parfum, je m’armais de courage et de fer pour venir me planter derrière ce mur de muscles. Ne me dites surtout pas que c’est lâche de l’attaquer par derrière. Je faisais face au joueur et Maamar, leva le bras droit en direction du joueur pour lui… tapoter l’épaule. Maamar venait simplement  payer une dette de jeu.